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Au bout de la nuit

Chaque arrivée sur le sol américain me ramène aux souvenirs de mon premier voyage aux USA.

Dès les années 80, mon père et moi avions été attirés par l’éventualité d’un tel voyage. Nos vitrines accueillaient alors très peu de miniatures d’outre-Atlantique mais nous avions des contacts avec des collectionneurs américains de Tekno et de Dinky Toys.

Semi-remorques Ralstoy
Semi-remorques Ralstoy

C’est au milieu des années 80 que je suis parti pour la première fois aux Etats-Unis, davantage en tant que professionnel qu’en tant que collectionneur.

Mon choix s’est porté sur la bourse de Chicago qui avait la réputation d’être la plus importante du monde !! Elle commence le mercredi dans deux hôtels et se prolonge durant trois jours.

Les gens installent de véritables petits magasins dans leurs chambres transformées en échoppes. Les plus organisés amènent des étagères et des vitrines mais tout est bon pour présenter ces milliers de jouets : ainsi, les lits, les guéridons, les tables de nuit et même les tables à repasser sont réquisitionnées ! J’ai souvent pensé aux femmes de ménage qui devaient composer avec ces étalages !

Une chose m’a marqué : dans toutes les chambres, les télévisions fonctionnent 24 heures sur 24… ainsi peut-on on suivre en allant de chambre en chambre, là un film, là une série. Cela permet à chaque visiteur de donner son avis sur l’émission regardée ! L’autre détail qui m’a frappé, c’est la climatisation réglée au plus froid dans toutes les chambres. Mais quel souvenir ! La journée consiste à arpenter les étages et à visiter une succession de chambres, les organisateurs fournissant des plans avec les numéros et l’identité des locataires.

Certains marchands ne déballent qu’à certaines heures et l’indiquent sur leur porte. Durant cette semaine, les deux hôtels sont réservés aux amateurs de jouets. Les voyageurs non collectionneurs sont invités à trouver un hébergement plus paisible ! Ces établissements sont situés à environ 70 kms à l’ouest de Chicago. Encore fallut-il y arriver… À peine descendu de l’avion, après plus de 10 heures de vol et le passage au service de l’immigration qui est toujours un peu impressionnant la première fois, il m’a fallu attraper la navette qui amène les clients vers les différents loueurs d’autos.

L’aéroport est tellement étendu que les loueurs sont installés à plusieurs kilomètres des terminaux. C’était au mois d’octobre et il faisait déjà nuit en cette fin d’après midi. Après avoir rempli le contrat, le préposé m’a expliqué que je n’avais plus qu’à choisir mon auto sur le parking, les clefs étant déjà sur le tableau de bord. Pour être tout à fait exact, je n’ai choisi que la couleur car les modèles correspondant à ma catégorie étaient tous identiques. Je n’avais jamais conduit de véhicule avec une boîte automatique et je ne savais pas qu’il y avait une sécurité enfants à débloquer. Passé le moment d’euphorie dû au choix de la couleur, il a fallu me rendre à l’évidence : impossible de faire démarrer la voiture. J’ai dû aller chercher un membre du personnel qui n’a pas tout de suite compris mon problème (sans que je sache si son incompréhension était due à mon accent ou au fait qu’il était inimaginable que quelqu’un ne sache pas faire démarrer une telle auto aux USA). Lorsque l’auto s’est ébranlée, j’ai bien vu dans son regard, mi-inquiet, mi- désapprobateur, qu’il avait de gros doutes sur les chances de revoir son véhicule en bon état.

Le plus dur commençait. La nuit était là, et je devais rejoindre l’hôtel. J’avais étudié le trajet sur carte une bonne dizaine de fois, cette carte que j’avais eu tant de mal à obtenir.

Un peu plus tôt j’avais en effet demandé un plan au comptoir de l’agence. Mon interlocuteur m’a demandé ma destination puis m’a simplement invité à consulter l’ordinateur qui se trouvait à l’entrée de l’agence … Ce qui est aujourd’hui très banal, m’avait, il y a 20 ans, stupéfait. Un respectable papi qui aurait pu poser pour une publicité vantant des produits vitaminés destinés au troisième âge occupait déjà la console…et moi qui m’étais toujours contenté de cartes traditionnelles je ne savais pas me servir de cette machine. J’ai mesuré l’avance que les anglo-saxons avaient sur nous au niveau de l’informatique. Depuis j’ai rattrapé un peu de mon retard  [ Et comment ! note du webmestre 🙂 ] . A peine sorti du parking, je me suis embarqué sur des bretelles qui se croisaient et se recroisaient et des ponts qui enjambaient des rubans d’autoroutes : un entrelacs de bitume !

Sans trop de soucis finalement j’ai fini par trouvé mon « interstate ». Rassuré ! Accroché au volant de ma petite auto, je me tenais bien à droite et je respectais scrupuleusement la limitation de vitesse. Bon c’est vrai, tout le monde me dépassait. Au bout de quelques minutes a surgi derrière moi un énorme camion qui se rapprochait très vite.

Un coup de klaxon et le camion m’avala d’un seul trait. J’ai eu le loisir d’admirer ces superbes semi-remorques que Ralstoy a su si bien reproduire.

Une minute et quelques coups de klaxon plus tard, un second poids lourd me laissa sur place. J’ai vite compris que ma petite auto de location ne survivrait pas à ce train de sénateur et qu’il fallait adapter ma vitesse à celle des autres conducteurs.

Lorsque je me renseignai le lendemain sur les usages de la route, on m’a expliqué que les limitations de vitesse n’étaient véritablement appliquées qu’en zone de rase campagne. J’ai par la suite croisé plusieurs autos de police qui n’ont pas infirmé cette tolérance. Je trouve la conduite là-bas assez dangereuse. Les gens doublent à droite, à gauche, il y a peu de règles. Personne ne trouvera à redire si, grâce à une accélération brutale, un conducteur coupe la route aux autres véhicules pour rejoindre la bretelle de sortie de l’autoroute. Après toutes ces émotions, au bout de cinquante minutes, j’ai fini par apercevoir l’enseigne de l’hôtel au bord de l’intersate. Elle brillait, telle ma bonne étoile. Ce fut un grand soulagement. J’avais réussi mon premier examen.

Jamais je n’oublierai le bien-être que j’ai ressenti en refermant la porte de ma chambre d’hôtel… Moi qui croyais jusque-là faire un métier facile …

Permis poids lourd à Tel Haviv

Permis poids lourd à Tel Haviv

Non ce n’est pas le titre d’un roman d’espionnage ! Quelle imagination fertile chez Gamda à l’époque.

Nous ne connaissons pas d’autres exemples de camions « auto-école ». La thématique des auto-écoles est elle-même peu fréquente.

Bedford auto-école Gamda
Bedford auto-école Gamda

Il y a souvent été recouru pour amortir à moindre coût un moule en fin de carrière. Norev et Minialuxe ont utilisé ce filon. Au cas présent, Gamda n’avait pas utilisé son moule pour une version préalable. Ce moule était en fait d’origine anglaise et avait été utilisé par Kemlow puis Automec pour la reproduction de ce Bedford.

Eux- mêmes s’étaient inspirés de celui reproduit par Dinky Toys. Les dimensions sont communes aux deux moules. Certains détails révèlent bien la similitude des deux modèles. Par contre, comme souvent en pareil cas, quelques détails diffèrent : la roue de secours est absente sur la copie ainsi que le crochet. Il est intéressant de voir les liens qui ont uni Gamda à certaines petites firmes britanniques.

Ainsi les moules relatifs à la gamme produite par River Serie, devenue DCMT, ont transité par la Nouvelle Zélande chez Lincoln industries (qui produira les Micro Models en Nouvelle Zélande) avant d’arriver dans la jeune nation qu’était Israël à l’époque. Ce pays qui venait de naître après le second conflit mondial avait gardé des liens avec la Grande Bretagne qui occupait la région auparavant.

Les moules qui devaient déjà être bien fatigués furent donc réutilisés une dernière fois. Nous avons précédemment étudié le cas de la Vanguard qui sera transformée en ambulance, voici donc le bâché qui va trouver un emploi en véhicule d’auto école ! Pour être honnête c’est l’inscription, côté droit, en anglais : “driving school” qui m’a permis d’identifier la fonction du modèle. Il est intéressant de constater que le décalque sur lequel est représenté un feu rouge sera repris sur le graphisme de la boîte. Ces versions sont très peu fréquentes.

Nous avouons n’avoir jamais revu d’autre Bedford auto-école. De par leurs décorations, ils étaient de toute évidence destinés au marché local.

Ils sont dorénavant très prisés par la communauté juive éparpillée dans le monde entier, notamment aux Etats-Unis. Ils sont représentatifs de l’essor et de l’histoire de cette jeune nation.

Première leçon de conduite à Stockholm

Alors que nous ne pouvons que constater la détérioration des rapports entre automobilistes, et entre automobilistes et autres usagers de la route, il nous a semblé judicieux de vous présenter cette mallette Tekno destinée à l’éducation routière des petits écoliers suédois.

Mallette éducation routière Tekno
Mallette éducation routière Tekno

Rien ne remplacera jamais le rôle de l’éducation dans l’édification d’une société où il fait bon vivre ensemble, et ce dans tous les domaines. Après avoir négligé ce principe universel, nos gouvernants ont cru pouvoir compenser leur manque de clairvoyance par des accès de répression. Et c’est ainsi qu’on vit les radars pousser et se multiplier au bord des routes comme des champignons. Et c’est ainsi qu’on vit le quota de points attribué à chaque conducteur diminuer au fil des infractions, et fondre de manière automatique et sans discernement, aussi rapidement que neige au soleil.

Dans les écoles, le temps de l’éducation routière s’est dissout dans l’éducation civique. Pourtant, quel souvenir merveilleux que ces séances durant les heures de classe ! Elles constituaient la petite pause indispensable entre la dictée et les problèmes de baignoires à remplir ou de trains qui n’arriveraient pas à l’heure (déjà) ! Ces heures avaient la saveur du temps volé sur les matières rébarbatives et théoriques qu’étaient le calcul et la grammaire… certes, bien après, j’ai compris l’utilité ces enseignements pour calculer une ristourne ou écrire de manière compréhensible ce blog.

Mais ces heures d’éducation routière, c’étaient bien celles où le cancre pouvait relever la tête, faire preuve de son bon sens et se racheter aux yeux de la maîtresse….

Alors, imaginons la chance des petits écoliers suédois. En France, nous en étions encore aux posters cartonnés accrochés au tableau noir.

Le petit Suédois, lui, avait à sa disposition de belles Tekno rutilantes. Et je ne suis pas loin de penser que cela explique le comportement des scandinaves au volant. Dès le départ, ils ont été habitués à manipuler des objets de qualité !…

Arrêtons-nous, un moment sur cette mallette éducative Tekno.

Lors de nos nombreux voyages en Scandinavie, nous avons eu l’occasion de voir plusieurs valises de ce type. D’après les informations que nous avons glanées, elles étaient distribuées dans les écoles. Il est également possible qu’elles aient été vendues. Elles étaient toujours équipées des mêmes modèles. En fait, il s’agit d’une firme suédoise qui commandait des modèles à Tekno. Cette firme agissait comme un assembleur.

La Volkswagen est bien sûr aux couleurs de la police suédoise. Il est intéressant de remarquer que, suite aux desiderata du commanditaire, quatre décorations ont été créées spécifiquement pour cette mallette (voir la photo 97a). La version ambulance du Kombi Volkswagen croix rouge n’a jamais été reprise en étui individuel…il aurait été impossible d’y glisser le véhicule à cause de son gyrophare. Un problème identique se posera à Tekno avec le Ford taunus ambulance. Tekno trouvera la solution en glissant le gyrophare à l’intérieur du fourgon, grâce à la porte ouvrante. Le Volkswagen n’offrait pas cette possibilité. Autre curiosité, la couleur rouge du gyrophare. Jamais cette couleur ne sera reprise par Tekno. Les deux Mercedes 220, de couleur noire, arborent aussi une décoration spécifique. « Skoljuts » est la traduction d’« auto-école ». La version Taxi (et non taxa comme au Danemark) est appliquée à plat, ceci afin de faciliter l’identification du modèle. En effet, ces autos étant placées à même une table, les enfants à qui on demandait de déplacer tel ou tel objet devaient pouvoir les identifier facilement.

Dernier élément créé pour ce coffret, l’autocar arborant la décoration « Scania vabis ». Il est assez étrange, pour le commanditaire d’avoir fait réaliser ce décalque et de l’avoir appliqué sur un Volvo, autre fabricant Suédois. En allant plus loin, il est aussi étrange, pour des modèles réalisés pour la Suède d’avoir choisi des Volkswagen et des Mercedes et non des Volvo Amazon. Pourtant la nationalité suédoise est à l’honneur dans cette mallette. Ainsi, le camion citerne arbore les couleurs du grand pétrolier suédois Koppartrans. On note également la présence d’un autre Scania 110, sans bâche. Signalons également la présence de panneaux et feux rouges d’origine Tekno. Les personnages sont par contre d’origine anglaise, de chez Corgi Toys.

Remarquez le curieux traineau… nous sommes bien en Scandinavie ! Enfin une case était destinée à contenir des craies.

Peut-être être pourrions nous réintroduire ces objets ludiques dans les écoles, avec de belles Solido actuelles par exemple, afin d’éduquer nos enfants et petits enfants à bien se comporter plus tard sur la route… mais assurément, c’est maintenant et sans attendre qu’il faut former les conducteurs de demain !

Un Leyland à Hong-Kong

A première vue, ce modèle semble une copie des reproductions fournies par la firme de Binns Road. Mais, il ne faut jamais se contenter d’une explication trop facile : trop de modèles ont été catalogués comme des copies, alors qu’une analyse rigoureuse aurait prouvé le contraire. Le fabricant Roxy Toys nous a gratifiés de ce superbe Leyland camion benne.

Camion Leyland Roxy Toys
Camion Leyland Roxy Toys

D’une taille conséquente, 23 cm, son échelle de reproduction est très proche du 1/43 : le véhicule équipé de ce châssis avait effectivement une taille imposante. La cabine diffère en deux points de celle du modèle de chez Dinky Toys : le monogramme Leyland est absent et la cabine ne bascule pas sur la reproduction du bloc moteur, contrairement au modèle de Binns road. Il est troublant de remarquer que les sièges qui équipent la version en plastique sont d’un dessin similaire à celui du Dinky Toys. Notons également que Roxy qui a affublé son camion d’un pilote de course devait avoir un moule facilement adaptable à ce type de siège.

Sans se poser trop de questions il a doté sa miniature d’un pilote casqué. On ne sait comment interpréter ce choix : soit le camion avait des performances extraordinaires soit au contraire son comportement routier était si désastreux que le brave chauffeur devait se prémunir contre tout risque.

Sur le dessin de la boîte, une simple casquette sied beaucoup mieux à notre valeureux conducteur. Un examen du châssis, et plus particulièrement des ailes, est évocateur. Les ailes du Dinky Toys sont arrondies et le châssis comporte des détails gravés (lames de suspension entre autres) que le modèle Roxy ne possède pas. Mais surtout, les ailes de ce dernier sont anguleuses. On peut penser que c’est en rapport avec l’évolution du vrai modèle.

Pour l’anecdote, le marchand anglais qui m’a cédé cette rare et jolie pièce, m’a vanté son produit comme une copie du Dinky Toys. Ce n’est pas le cas. Il s’agit bien d’une évolution. La production asiatique révèle bien des surprises. La présence d’une étiquette sur la boîte atteste du fait que l’on a affaire à un échantillon certainement destiné à être exposé dans le hall d’exposition de l’exportateur du nom : « Anglo American traders LTD » situé au 1327-1329 Prince’s bldg à Hong Kong.

Si vos pas vous mènent jusqu’à Hong Kong, allez donc voir à cette adresse s’il ne reste pas quelque chose.

Si Spot-On avait eu le temps …

Le fait est rare, et mérite d’être mis en valeur. Les fabricants asiatiques ne se sont pas toujours inspirés de ce qui se faisait par chez nous : la preuve en est avec ces beaux camions Morris.

Avouons que ces cabines très typées britanniques auraient mérité des reproductions chez les fabricants anglais. Elles ont eu un succès confidentiel chez les utilisateurs à l’époque.

l'étrange cabine du Camion Morris
l’étrange cabine du Camion Morris

Elles correspondent à la période, au milieu des années 60, où l’ouverture des marchés et des frontières en Europe va bouleverser le paysage routier. Ainsi de nombreuses marques vont fusionner afin de lutter plus efficacement contre la concurrence.

A titre d’exemple, des cabines très similaires à ces Morris seront adaptées en France, chez Willeme. Nous verrons ainsi des camions BMC d’origine anglaise arborant le monogramme Willeme BMC, mais aussi des Willeme AEC…le succès ne sera pas au rendez vous…l’industrie automobile anglaise, en perte de vitesse depuis la fin de la seconde guerre mondiale, aura beaucoup de mal à développer ses exportations.

Ces véhicules ne feront aucune percée commerciale en dehors des colonies ou des pays anciennement colonisés avec lesquels l’Angleterre a gardé des liens privilégiés. Ces modèles ont sans doute souffert d’un manque d’innovation technique qu’une originalité purement esthétique n’a pas pu pallier. Le fait est là, ces firmes seront balayées très rapidement.

Notre Morris est doté d’une cabine assez révolutionnaire. Avec de larges surfaces vitrées, son créateur a manifestement privilégié la vision. Emporté par sa fougue cet ingénieur a réussi à placer les deux portes dans un angle improbable, l’accès à la cabine se faisant par un marchepied situé sur l’angle arrière biseauté. Au niveau de l’originalité c’est réussi, quant à l’efficacité, la réponse est que ce système ne sera jamais plus réutilisé ! Il n’empêche que le modèle a fière allure en vitrine. L’échelle de reproduction est voisine du 1/43 (17cm). Il est à une échelle identique de celle des camions Spot-On.

Il est intéressant de constater que sur son dernier catalogue Spot-On avait programmé un fourgon Leyland dans une version ambulance et police. Un dernier mot sur le ou plutôt les fabricants de ce jouet. La benne et le fourgon portent gravés sur leur châssis le logo « TAT » made in Hong Kong. On rencontre souvent le nom de cette firme très active. Par contre sur les boîtes figurent deux noms différents.

Ainsi la version ridelles a été vendue sous le nom « Fairylite empire made » alors que la firme apparaissant sur la boîte du fourgon est « Merehall’s Noveltoys ».

Ceci ne fait que confirmer un fait familier aux collectionneurs de ces produits. Il semble que toute la production de miniatures de Hong-Kong n’a été en fait l’œuvre que de deux ou trois unités de fabrication. Un peu à l’image de ce qui se passe actuellement en Chine pour les miniatures.

Enfin n’oublions pas de mentionner deux détails. Le premier concernant la version ridelles. Celle-ci est équipée d’une petite remorque, qui doit se loger à l’intérieur de la benne du camion pour tenir dans la boîte ! Quant à la version du fourgon, elle arbore fièrement le nom de son commanditaire « Merehall’s Noveltoys ». On peut imaginer notre camion, comme dessiné sur la boîte remontant le motorway M1 empli de petites reproductions de chez« Merehall’s Noveltoys ».