Le personnage semblait sorti tout droit d’un roman de Jane Austen. La romancière aime inclure dans ses histoires des personnages secondaires qui d’un roman à un autre ont de forts points communs.
Notre homme avait la bonhomie provinciale, l’apparence n’était pas sa priorité. C’était un homme bien en chair et carré d’épaules. Sa silhouette volumineuse contrastait avec celle de son épouse, plutôt chétive. Des bonnes joues un peu rouges et un sourire qui avait gardé la malice de l’enfance faisaient qu’on lui aurait donné le bon Dieu sans confession. Continuer la lecture de Le passionné anglais