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La lectrice

La lectrice

Dernièrement, une information a retenu mon attention. Un chercheur gallois annonçait que les suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach avaient été en partie composées par son épouse, Maria-Magdalena. Il récidiva plus tard en annonçant que la soeur de Mozart avait participé aussi à la composition de quelques oeuvres. Je ne sais s’il faut accorder trop de crédit à ce genre d’annonces, mais une chose est sûre, je ne vais pas attendre qu’un journaliste découvre le pot aux roses avec le blog de l’Auto Jaune : je l’avoue dès à présent, mon épouse participe à l’écriture du blog.

Je me souviens du jour où elle a regardé la feuille sur laquelle j’avais rédigé le brouillon de mon premier blog. Connaissant ses facultés de rédaction, je souhaitais qu’elle ait un regard critique sur mon travail. Ce fut la douche froide.

Contresens, erreurs de syntaxe, fautes d’orthographe, le bilan n’était pas fameux. On peut dire qu’elle s’arrachait les cheveux. Elle m’a confié plus tard avoir bien cru que nous n’y arriverions jamais.
Moi qui partais avec de grandes illusions, j’ai compris qu’il allait falloir travailler dur si je voulais arriver à mon but : partager et transmettre ma passion des autos miniatures.

Ainsi, à « grands coup de ciseaux » pour reprendre son expression favorite, mon épouse a remanié le texte afin qu’il soit clair et compréhensible de tous. N’ayant pas un égo surdimensionné, j’ai pris la chose avec philosophie. Avec le temps, j’ai pu constater que ses corrections permettaient aux gens non initiés au monde de la collection de miniatures de trouver un intérêt à la lecture de ces quelques lignes.

Il faut reconnaître que le support papier n’était pas la bonne solution et que le traitement de texte facilite le travail à quatre mains. Mais l’inspiration me venant souvent de manière soudaine, sur mon vélo, dans une salle de cinéma, dans un musée ou dans le métro j’ai toujours besoin de consigner l’idée sur une feuille avant qu’elle ne s’envole.

Cependant, poursuivant notre petit bonhomme de chemin, nous voici arrivés au cinq-centième blog, ce qui représente quelques feuillets. Je n’ai  pourtant jamais eu la tentation de concevoir un ouvrage sur notre collection. Ce qui m’intéresse, c’est de présenter les miniatures à travers leur histoire et mes expériences personnelles, sous un angle original et différent de ce qui existe déjà. Pour cela, le blog laisse une liberté sans pareille : il est de plus accessible à tous. Et si de livre il n’y aura jamais, j’ai quand même décidé de faire un clin d’oeil au monde de l’édition en retenant ce thème pour le blog du jour.

En fait, je dois avouer, qu’il y a déjà très longtemps que je cherchais un prétexte pour vous montrer une miniature qui me tient à coeur. Il s’agit d’un véhicule réalisé par Erzgebirge.

C’est plutôt la thématique choisie par le fabricant qui est exceptionnelle. Il s’agit d’un bibliobus des années trente. D’après des photos que j’ai pu voir du vrai véhicule, il aurait été conçu sur la base d’un Büssing.

Réalisé bien sûr en bois, comme tous les jouets de cette firme, il possède un charme indéniable. Le fabricant a même pris le soin de faire figurer à l’intérieur, à l’aide d’un tampon, des livres rangés sur des étagères.

Une figurine représentant la bibliothécaire finit de donner au jouet toute sa poésie. Enfin, il est intéressant de rapprocher la fabrication de ce jouet de la période troublée que traversait l’Allemagne dans les années trente et notamment de l’autodafé en 1933 des ouvrages écrits par des écrivains juifs ou communistes. Ce pacifique petit véhicule, contemporain de ces exactions, peut être vu comme un symbole de la transmission du savoir, mais aussi comme un pied de nez aux autorités nazies.

A partir de ce véhicule, j’ai choisi de dériver vers les véhicules arborant des noms de journaux ou de maisons d’édition situés dans l’Europe du Nord. Au regard du nombre de miniatures aux couleurs des grands quotidiens allemands, on ne peut s’empêcher de penser qu’il y  avait outre-Rhin un engouement pour ce type de vecteurs publicitaires.

Le grand quotidien « Der Spiegel » fera réaliser des miniatures à ses couleurs.

Märklin fournira tout d’abord un Volkswagen Kombi, puis Tekno un camion Ford D800.

Pour cette occasion, Tekno a conçu cet habillage de type fourgon, peu crédible mais bien pratique pour apposer l’autocollant ceinturant la caisse. Il s’agit bien sûr de véhicules hors commerce.

A partir de son Volkswagen fourgon, Wiking produira une version estampillée à l’aide d’un tampon « BZ » pour le Berliner Zeitung.

En tant que firme berlinoise, Wiking semblait une entreprise toute indiquée pour ce journal.Ce produit est rare. Je ne me souviens pas en avoir croisé un autre que celui que je possède.

C’est à RW Modell qu’un autre journal, le « Berliner Morgen Post » s’adressa pour reproduire ce sympathique Ford Transit châssis court.

La décoration est des plus sobres. Conçu pour une fonction promotionnelle, comme tous les produits présentés ce jour, il est également difficile à se procurer.

Autre pays du Nord a avoir utilisé les miniatures automobiles comme vecteur publicitaire, les Pays-Bas. Présentons deux rares et splendides produits. Le premier, a été réalisé pour un hebdomadaire de programmes de télévisions « Avro Bode ».

En échange d’un abonnement, le journal envoyait par la poste ce très sympathique Bedford 10cwt de Corgi Toys aux couleurs du magazine. Pour cette occasion Corgi Toys a réalisé une couleur spécifique, un très beau bleu dur, et a décoré les panneaux du fourgon de décalcomanies aux armoiries du journal. La boîte, blanche, est très sobre. L’ensemble était bien sûr glissé dans un petit carton d’expédition que je n’ai jamais vu. Le produit est rare.

L’autre modèle est peut être encore plus intéressant. Le 21 décembre 1963, en échange de 3 Florins, le lecteur du journal « Haagsche Courant » pouvait acquérir une reproduction « made in Denmark » (dans le texte) d’un Volkswagen Kombi aux couleurs du journal. Pour ma part, j’ai acquis le journal près de 30 ans après avoir eu la miniature et ce document a autant d’intérêt que la miniature produite par Tekno.

Il se peut que l’objet ait été distribué par l’intermédiaire d’abonnements et qu’un surplus ait été vendu. Des lecteurs néerlandais pourront peut être m’éclairer sur ce sujet.

En attendant la suite, consacrée aux maisons d’édition scandinaves, je dois ici juste remercier mon épouse de m’avoir épaulé, aidé conseillé. Les textes n’auraient pas eu le succès qu’ils ont sans elle. Ils sont le fruit d’une longue complicité et nous avons un plaisir toujours renouvelé à vous les présenter. Quant à moi mon premier plaisir consiste à la surprendre à travers ces histoires.

 

 

 Autojaune

autojaune@orange.fr

 

 

 

Provenance : Courrier pour Windows 10

 

 

L’absence de virus dans ce courrier électronique a été vérifiée par le logiciel antivirus Avast.
www.avast.com

 

 

RW Ziss : le Ford Transit

Cette semaine attachons-nous à découvrir un autre modèle fort intéressant produit par RW Ziss, le Ford Transit : une réussite.

A la vue de cette camionnette Ford et de l’Hanomag Henschel https://autojauneblog.fr/2015/10/18/rw-hanomag-henschel/ on se dit que ce fabricant avait les capacités pour nous proposer d’autres beaux modèles intéressants.

Le paysage automobile allemand n’en manque pas, c’est le moins que l’on puisse dire.

Cette miniature a eu une curieuse carrière. Il semble bien que ce véhicule ait été fabriqué comme support promotionnel. Trouver des entreprises qui souhaitaient apposer leur publicité sur cette fourgonnette fort répandue outre-Rhin aurait dû être chose facile pour RW Ziss. Bien exécutée, très détaillée, la miniature méritait un beau succès.

Les éventuels commanditaires ont pu être rebutés par un tarif élevé justifié par le coût de revient du modèle.

Il serait fort instructif de savoir à quel prix ces miniatures étaient proposées aux entreprises et surtout de comparer avec les prix pratiqués par Tekno qui avait à son catalogue un Volkswagen et un Ford Taunus. De ce fait, le modèle fut distribué discrètement en boutique.

Le fabricant de peinture Spies Hecker Lack passera commande à RW Ziss d’une reproduction du Ford Transit à ses couleurs. Pour mémoire, quelques années auparavant, ce même industriel avait commandé un Volkswagen et un Ford Taunus à Tekno. Ces deux derniers sont rares. Le Transit RW Ziss me semble encore plus rare. Je n’en ai croisé qu’un seul. A la vue de la finition, au pochoir, on se rend compte que RW Ziss a rencontré des soucis lors de la fabrication, surtout pour peindre le pavillon qui est en plastique. Pour sa part, Tekno, choisira d’appliquer une grande décalcomanie. Le résultat est net et sans bavures, ce qui n’est pas le cas du RW Ziss.

Cette série de Ford Transit possède un charme particulier. Ephémère, elle n’a pas rencontré auprès des entreprises un succès équivalent à celui des fourgons de chez Tekno.

Gageons qu’il y a encore d’autres découvertes à faire dans cette série.

RW Hanomag Henschel

Un Hanomag  RW aux multiples facettes

Depuis que l’industrie du jouet existe, l’Allemagne a une aura particulière dans ce secteur d’activité. La région de Nuremberg a vu naître une industrie du jouet florissante, dont la firme du jour, RW qui a reproduit ce camion, le RW Hanomag Henschel.

Ce n’est pas un hasard si de nos jours encore c’est dans cette ville que se déroule la plus grande foire spécialisée dans ce domaine.

Pourtant, je dois mettre un léger bémol à cette entrée en matière. Si Märklin a été la référence dans le domaine du chemin de fer, Steiff dans celui des peluches, Schuco dans les jouets animés et Wiking dans les miniatures HO, aucun fabricant allemand n’a réussi à s’imposer sur le marché de l’auto miniature au 1/43.

Märklin fera trois tentatives sur le marché de la miniature automobile qui seront autant d’échecs (avant guerre, années 50 puis années 70). La firme de Göppingen ne trouvera jamais son public malgré des réalisations soignées.

On peut admirer la finesse de gravure sur l’ensemble de cette production. On sent bien la présence de maquettistes venant du bureau d’étude des miniatures ferroviaires HO.

Malgré cela je trouve que ces modèles manquent d’âme, de poésie. Les miniatures sont souvent très fidèles, mais il manque quelque chose et c’est peut être ce qui explique l’absence de succès. Les prix de vente ont également dû être un frein, mais cet argument est à relativiser car les Dinky Toys étaient également onéreuses.

Une firme comme Gama aura une histoire commerciale plus glorieuse que Märklin dans le domaine de la miniature automobile. Cependant, on ne peut pas dire qu’elle ait marqué les esprits ni laissé des autos inoubliables. Avec ses Micro Racer Schuco a choisi une voie à part. Afin de loger ses géniaux mécanismes les échelles retenues sont proches du 1/40. Par ailleurs, les boutons poussoirs défigurent un peu les lignes des autos et peu de collectionneurs les ont incorporées dans leurs vitrines.

Reste une kyrielle de petites firmes qui ont produit, souvent de manière désordonnée, des objets de qualité. Ces créations ont   souvent été conçues à des fins promotionnelles.

C’est le cas du fabricant du jour, RW Modell qui prendra plus tard le nom de Ziss. Son fondateur, M. Wittek, parallèlement à la reproduction d’une série d’ancêtres manquant singulièrement de charme et de finesse (pour les premiers modèles tout au moins), produira un joli camion Hanomag et un Ford Transit fourgon.

Avec équipement pour injecter du béton
Rare version avec équipement Hünnebeck

Cette semaine nous nous attacherons à lister les différentes versions de ce camion Hanomag apparu en 1968. Deux versions sortent de l’ordinaire. Le tracteur semi-remorque citerne Aral et la pompe à béton, créée pour un usage sans doute promotionnel. Le catalogue présente une version citerne Esso. Mais je ne l’ai jamais rencontrée et personne autour de moi ne semble en avoir vu un exemplaire. J’ai choisi aussi d’incorporer dans cette galerie une autre reproduction de ce camion assez familier en France. Il s’agit d’une miniature de chez Cursor. La boîte semble indiquer un usage promotionnel mais il est possible qu’une partie de la production ait été distribuée aussi dans le commerce. Cette miniature est assez peu fréquente.

Tekno Volkswagen Kombi Leeuwen Zegel

Du beurre dans les épinards

Au début des années soixante, s’inspirant de ce qui se faisait outre-Atlantique depuis près de vingt ans, l’industrie agroalimentaire commença à distribuer des petites autos avec des produits de grande consommation comme l’huile de table, les biscottes et le vin. Nous étions en pleine mode des « tacots ».

Volkswagen van Leeuwen Zegel
Volkswagen van Leeuwen Zegel

Cela comblait la ménagère de trouver avec l’huile une superbe reproduction de la Sizaire et Naudin, un peu plus petite que celle de la collection Rami, qui, elle, était exposée avec le reste de la collection dans le salon. Délicatement posée sur un napperon de dentelle, elle trônait, juste à coté de la télévision en noir et blanc.

Cette série bis en plastique, on aimait l’offrir aux petits enfants lors de leur venue : une manière comme une autre de les éduquer au bon goût. C’est sans doute à cause de telles pratiques que pendant longtemps le plastique eut une mauvaise image auprès d’une génération de collectionneurs !

Ce problème, le petit Néerlandais ne l’a pas connu, Si sa gentille maman était assez avisée pour cuisiner avec la margarine Leeuwen Zegel, il a eu le bonheur de pouvoir choisir entre le Volkswagen van et, si il s’était armé de patience, le Volvo N88 Titan semi remorque fourgon.

Voilà comment, aux Pays-Bas les parents enseignaient l’école de la patience à leur progéniture. En effet, il fallait découper trois fois plus de points sur les pains de margarine pour obtenir le Volvo que pour obtenir les modèles de base. La quête du Graal en somme.

Leeuwen Zegel a poursuivi pendant de nombreuses années cette opération qui fut un franc succès. Il y a donc eu un grand nombre de variantes.

Commençons par le Volkswagen. Les spécialistes que vous êtes auront remarqué l’absence de finition, notamment la peinture en argent sur les pare-chocs. S’agissant de séries promotionnelles le prix de revient devait être ramené au minimum et Tekno a su s’adapter à la demande de ses clients. Le Volkswagen sera remplacé par le Ford Transit de seconde génération. A la fin de la production il recevra le nouveau logo bleu et rouge de la firme, ce qui atteste de la durée de l’opération. Le Volvo aura également une vie promotionnelle assez longue et de très nombreuses variantes, au niveau des phares, de l’aménagement intérieur et de la finition bicolore. De même, le logo sera d’abord en décalcomanie puis au pochoir. Compte tenu du succès, le groupe Néerlandais d’agroalimentaire étendit l’opération à la firme Brinkers (beurre). Le lien entre les deux firmes est facile à établir dès lors qu’elles utilisent les mêmes couleurs pour promouvoir leur image.

Marie-Chantal à l’Ile de Wight

Bons baisers de Marie-Chantal, à l’île de Wight

Cette année, nous avons décidé de modifier radicalement le choix de notre destination estivale.

Il faut dire que nos dernières vacances sur la Côte d’Azur ont été éprouvantes. Le camping, certes tout confort, était coincé entre la voie ferrée et la route nationale. De plus, notre vie de malheureux touristes était rythmée par le ballet incessant des avions en phase d’atterrissage sur l’aéroport de Nice.

Packing Case (MG) et Blue Box Ford
Packing Case (MG) et Blue Box Ford

Cette année donc, nous avons choisi le grand calme : empruntant le chemin inverse des juilletistes, nous sommes remontés vers le nord, en direction de la Grande-Bretagne, précisément de l’île de Wight. Après avoir débarqué à Douvres, nous avons emprunté la petite route côtière en direction de Brighton. Nous avons pu apprécier le fair-play de nos amis anglais. Le convoi que nous formions avec notre camionnette Ford et sa caravane sur la route étroite et sinueuse a dû être un véritable calvaire pour les autochtones contraints de nous suivre. Cependant, aucun coup de klaxon ne vînt jamais révéler de mauvaise humeur à l’encontre de notre lente progression : nous étions vraiment arrivés en Grande-Bretagne !

Nous avons débarqué en Ford Cortina et sa caravane sur l’île de Whight le 15 août. Le camping est magnifique.

Tous les matins, la sonnette du marchand de lait nous appelle au ravitaillement. L’après-midi, c’est le marchand de glaces qui fait retentir sa caractéristique sonnette électrique pour appeler tous les gourmands. Bien qu’il ne fasse pas très chaud pour un mois d’août, il est difficile de résister au plaisir de déguster des crèmes glacées de toutes les couleurs.

Il n’y a qu’un bémol. Depuis le 27, sont arrivés successivement des camionnettes de télévision, des journalistes, et enfin des hordes de jeunes gens. Dans un premier temps, nous sommes tombés des nues. Ajoutons à cela qu’ils sont peu vêtus, ce qui s’explique peut être par la légère hausse de température qui a accompagné leur arrivée. Les policiers regardent tout cela d’un œil bon enfant, que j’attribue encore au flegme britannique. On a fini par nous expliquer qu’allait se dérouler un grand festival de musique. Pour des vacances tranquilles, ce n’est pas vraiment réussi.

Depuis le début de ce festival, le rythme endiablé des chanteurs nous arrache à notre douce torpeur. Bien que la musique soit entraînante, quelques personnes ont précipitamment quitté le camping. Un couple de français, très sensible au bon gout britannique, est reparti illico à bord de son MG, horrifié à la vue de ces jeunes débraillés. Ils n’avaient qu’un mot à la bouche : « Cela nous promet une belle pagaille ». Dans un sens, je les comprends. Ils tiennent une boutique de confection à Versailles, « Au bon chic Versaillais » et c’est vrai que pour un commerçant en confection, la vue de ces jeunes gens aux tenues excentriques et légères n’augure pas un avenir prospère.

En ce qui nous concerne, nous avons fait contre mauvaise fortune bon cœur et finalement nous avons eu bien du plaisir à découvrir cette musique. Cela nous change beaucoup de l’opérette. Nous essaierons d’acheter le disque du concert en rentrant pour avoir un souvenir.

Les jeunes gens sont en fait très sympathiques ; ils ont redécoré notre roulotte dans un grand élan de créativité. Elle arbore désormais des fleurs de multiples couleurs. C’est un peu surprenant, mais c’est très gai et cela se marie à merveille avec le gazon anglais.

PS : pour illustrer ce texte, nous avons choisi un petit ensemble produit par « TNS » de Hong Kong, très symbolique de la période « pop ». Le Ford Transit avec la caméra provient du même fabricant. Le Ford transit « Daily Express » provient lui de chez Lincoln. Le camion laitier (inspiré du modèle produit par Spot-On) et le Commer camion de vente ambulante (inspiré du modèle produit par Corgi Toys) ont été produits par TAT de Hong Kong. L’Austin A105 et son hors-bord, librement inspirés par celui de Dinky Toys ont été proposés par Blue Box, également de Hong Kong. La MG « A » sort de chez Packing Case, firme également implantée en Asie. Enfin, le petit coffret avec la Ford Cortina et le hors-bord a été réalisé pour le marché américain. Aucune trace de fabricant n’apparaît.